22 janvier 2008
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Amoureux transis au milieux des fou
Voici que nos cœurs nous mettent a genoux…
Comme un moyen d’oublier un sordide chevalier
Qui un jour m’a brisée et qu’à tord je craignais
Et dont je cherchais inlassablement de me venger
Oubliant lâchement la sinistres vérité.
Au des années elles s’habillât de d’amples vêtements
Cherchant a tout prix à se cacher des passants,
Et déchirant le cœur d’êtres charmants
Il semblerait qu’enfin une petite fée
Se soit penché sur la môme brisée
Et qu’elle fit de ses rêves une douce réalité…
Et qu’en un étrange jour,
Jaillit de ses nuit l’amour,
Et qu’elle vêtit enfin ses habits de velour.
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